Le temps des fêtes est une moment idéal pour prendre une pause et marquer un temps d'arrêt. Voici ce que je fais pour vous car je suis en temps d'arrêt depuis les derniers mois et ce fût une occasion toute particulière pour moi pour marquer une pause tout en continuant de réfléchir au sens de la vie, à l'incontinence et son impact environnemental. Le lapin de Pâques m'a d'ailleurs entretenu en profondeur sur l'incontinence alors que le sens de la vie me fût révélé par un lutin du Père Noël. Je suis d'ailleurs en train d'écrire un livre qui traitera de ces deux sujets et qui pourrait s'ajouter à la liste de vos emplettes des fêtes de l'an prochain. "De l'incontinence du sens de la vie" est un livre qui bien que pas encore écrit traitera des causes de l'incontinence et de ses effets sur le sens de la vie. Pour documenter ce livre j'ai interviewer des incontinents de tous âges afin de connaître leur vision du sens de la vie. C'est la première fois que le sens de la vie est vu à travers l'incontinence.
Autre achat qui sera en vogue l'an prochain: le sapin 2 CO2. Développé au Service Canadien des forêts, un seul de ces sapins permettra de fixer assez de CO2 pour que le Canada rencontre ses objectifs ambitieux de réduction de carbone. On travaille même sur un modèle réduit qui s'installerait sur le rétroviseur à la place de la pitoune ou du piton qui sent bon. Le nouveau projet PROMIS "passe moi un sapin" devrait recevoir selon la rumeur plus de 10 millions de dollars et remplacerait tous les projets qui traitent de l'adaptation aux changements climatiques. Les revenus générés par les ventes de ces ptits sapins serviront à financer des projets de moindre importance comme ceux ayant trait à l'acquisition de connaissance sur l'écosystème.
En cette fin d'année où les dirigeants de notre planète discutent de tout et de rien en passant par le temps qu'il fera demain, demandez-vous si vous étiez une dinde comment vous appréhendriez le temps des fêtes. Pas pour rien que la dinde s'engrossit à la venue du temps des fêtes car elle sait dans son ford intérieur que la lumière qu'elle verra au moment de son trépas ne sera rien d'autre que celle de votre four que vous ouvrirez pour asperger de jus de cuisson ce curieux volatile. Le tofu ne réagit pas de la même façon et ce même si on le façonne en forme de dindon. Pensez-y.
Hier encore je n'avais même pas 20 ans, mais ce n'est plus le cas aujourd'hui. C'est comme ça la vie, quand bien même qu'on voudrait changer le passé on se retrouve face à soi-même et derrière soi notre passé s'allonge à la longueur de notre imagination. Généralement plus t'as une vie platte et plus ton passé est extraordinaire. Les gens de ce type ne réalisent qu'au moment de leur mort comment ils ont eu une belle vie et ce même si il l'ont toujours trouvé platte de leur vivant. C'est le paradoxe de la vie platte. C'est comme ça. On pourrait s'étirer sur le sujet mais ça viendrait platte à la longue, alors mieux vaut noyer le poisson tout de suite.
Alors pour terminer je vous souhaite d'avoir bien du plaisir pendant le temps des fêtes. Comme ça, ça va passer vite et on se retrouvera rapidement le lendemain du Jour de l'An avec la geule de bois mais fier d'être au bureau vaccinné pour se souhaiter la bonne année.
A bientôt
Louis
jeudi 17 décembre 2009
mardi 1 décembre 2009
Les anges de la consommation
Je cré ben que je suis dû pour une tite montée d'lait là.
Avec le temps des fêtes qui approche, rien de mieux que de se secouer le bas de Noël pour faire sortir le méchant et se le remplir de tant de belles choses dont on s'évertue à nous vanter les mérites sur nos écrans plats.
En ces temps de crise, quoi de mieux que de se décorer la limite de crédit de rouge tout en bénéficiant de ces soldes époustouflants qui s'offrent à nous. Quand viendra la déprime de janvier et février, au moins on pourra se consoler en se disant qu'on a fait ça pour une cause noble. Oui, endettons-nous encore plus pour la cause de l'économie, pour remettre sur ses tentacules notre tant tellement beau système.
Le p'tit Reine au nez rouge, le père Noël, le cœur de l'armée rouge, le livre rouge de Mao, et les attocats, ce ne sont certainement pas les fruits rouges du hasard. Si on tient compte du spectre des couleurs primaires on a 1 chance sur 243 que ce soit dû hasard. C'est de la conspiration néolibéralisme pour nous pousser à la consommation abusive. Nous sommes les fourmis rouges du post colonialisme qui supportons un système capitaliste mondialisé ayant phagocyté toutes opposition et qui engraisse quelques richissimes reines qui dédaigne même de vivre au sein de leur colonie. J'ai dû trop regarder le film "drôle de bestioles" avec ma fille ces derniers temps.
Pensez-y en savourant un coke avec votre chip au Ketchup tout en regardant un match du Canadien qui fête sobrement ses 100 ans. Crime Jeanne Calment a vécu 121 ans et elle était pas mal plus dans l'humilité que le club de hockey canadien. Non mais on est tu un peu tanné d'en entendre parler des Canadiens. Ça m'intéresse tu vraiment de savoir que la blonde de chose qui joue à l'aile droite mange juste des ailes droites de poulet. Ça m'intéresse tu de savoir que sur le protège couilles de Carey Price c'est écrit "ses couilles meurtries voudraient bien tremper dans la glace après la game afin d'assurer la vitalité de la progéniture éventuelle du premier choix du Canadien au repêchage de 2004". Nos bras meurtries vous tendent le flambeau, y serait peut-être temps que l'on remplace ça par nos gourets de bois vous passent le palet. C'est ça le problème pourquoi le canadien ne gagne plus, ils ont perdu leur identité. Ils pensent qu'ils se relaient la flamme Olympique jusqu'à Vancouver et qu'ils n'arrêtent pas de s'enfarger en s'y rendant en patins pas attachés sur la trans canadienne. Ça expliquerait les bras meurtries. Me semble qu'il y a d'autres problèmes dans le monde qui méritent qu'on s'y attarde un peu et qui pourraient permettre de détourner notre attention des Canadiens pour le prochain siècle. Bon là j'y pense mais ça ne vient pas encore. Tiens un exemple, les craques de trottoir qui nous font devenir des obsessifs compulsifs à force de trop se forcer à ne pas vouloir piler dessus. Un véritable fléau, j'ai vu des êtres censés, sensés venir souper chez nous et qui ne sont jamais arrivés parce qu'ils avaient pilé sur une craque de trottoir. Autre exemple, les suicides collectifs de vers de terre lors des grandes pluies d'été. Alors que l'attention est détournée du hockey pendant la saison estivale, me semble que l'on pourrait se préoccuper de ce fléau. Essayons de les comprendre un peu, les soutenir. Me semble que ça ferait un beau projet de société en attendant d'en avoir un avec plus de colonne. Il faut commencer quelque part. Ce ne sont là que deux exemples mais ils permettent de nous révéler à nous même et d'y puiser force et courage pour supporter des causes qui en valent la peine.
Merci
Avec le temps des fêtes qui approche, rien de mieux que de se secouer le bas de Noël pour faire sortir le méchant et se le remplir de tant de belles choses dont on s'évertue à nous vanter les mérites sur nos écrans plats.
En ces temps de crise, quoi de mieux que de se décorer la limite de crédit de rouge tout en bénéficiant de ces soldes époustouflants qui s'offrent à nous. Quand viendra la déprime de janvier et février, au moins on pourra se consoler en se disant qu'on a fait ça pour une cause noble. Oui, endettons-nous encore plus pour la cause de l'économie, pour remettre sur ses tentacules notre tant tellement beau système.
Le p'tit Reine au nez rouge, le père Noël, le cœur de l'armée rouge, le livre rouge de Mao, et les attocats, ce ne sont certainement pas les fruits rouges du hasard. Si on tient compte du spectre des couleurs primaires on a 1 chance sur 243 que ce soit dû hasard. C'est de la conspiration néolibéralisme pour nous pousser à la consommation abusive. Nous sommes les fourmis rouges du post colonialisme qui supportons un système capitaliste mondialisé ayant phagocyté toutes opposition et qui engraisse quelques richissimes reines qui dédaigne même de vivre au sein de leur colonie. J'ai dû trop regarder le film "drôle de bestioles" avec ma fille ces derniers temps.
Pensez-y en savourant un coke avec votre chip au Ketchup tout en regardant un match du Canadien qui fête sobrement ses 100 ans. Crime Jeanne Calment a vécu 121 ans et elle était pas mal plus dans l'humilité que le club de hockey canadien. Non mais on est tu un peu tanné d'en entendre parler des Canadiens. Ça m'intéresse tu vraiment de savoir que la blonde de chose qui joue à l'aile droite mange juste des ailes droites de poulet. Ça m'intéresse tu de savoir que sur le protège couilles de Carey Price c'est écrit "ses couilles meurtries voudraient bien tremper dans la glace après la game afin d'assurer la vitalité de la progéniture éventuelle du premier choix du Canadien au repêchage de 2004". Nos bras meurtries vous tendent le flambeau, y serait peut-être temps que l'on remplace ça par nos gourets de bois vous passent le palet. C'est ça le problème pourquoi le canadien ne gagne plus, ils ont perdu leur identité. Ils pensent qu'ils se relaient la flamme Olympique jusqu'à Vancouver et qu'ils n'arrêtent pas de s'enfarger en s'y rendant en patins pas attachés sur la trans canadienne. Ça expliquerait les bras meurtries. Me semble qu'il y a d'autres problèmes dans le monde qui méritent qu'on s'y attarde un peu et qui pourraient permettre de détourner notre attention des Canadiens pour le prochain siècle. Bon là j'y pense mais ça ne vient pas encore. Tiens un exemple, les craques de trottoir qui nous font devenir des obsessifs compulsifs à force de trop se forcer à ne pas vouloir piler dessus. Un véritable fléau, j'ai vu des êtres censés, sensés venir souper chez nous et qui ne sont jamais arrivés parce qu'ils avaient pilé sur une craque de trottoir. Autre exemple, les suicides collectifs de vers de terre lors des grandes pluies d'été. Alors que l'attention est détournée du hockey pendant la saison estivale, me semble que l'on pourrait se préoccuper de ce fléau. Essayons de les comprendre un peu, les soutenir. Me semble que ça ferait un beau projet de société en attendant d'en avoir un avec plus de colonne. Il faut commencer quelque part. Ce ne sont là que deux exemples mais ils permettent de nous révéler à nous même et d'y puiser force et courage pour supporter des causes qui en valent la peine.
Merci
mercredi 14 octobre 2009
Le reel de l'enveloppe brune
Le monde municipal se fait varloper l'enveloppe brune, ça m'inspire un reel
Par un beau dimanche au soir m'en allant me promener (bis)
J'ai rencontré Tony, il me l'a glissé (bis)
Don daine dans l'bas d'laine du maire d'la municipalité (bis et rebis)
Et ce sans oublier d'graisser la patte d'une couple de conseillers (bis et brebis)
J'ai rencontré Tony, il me l'a glissé (bis)
J'ai eu d'la peine à la plier, tant il avait pilé (bis)
Don daine dans l'bas d'laine du maire d'la municipalité (bis et rebis)
Et ce sans oublier d'graisser la patte d'une couple de conseillers (bis et brebis)
J'ai eu d'la peine à la plier, tant il avait pilé (bis)
Mais j'ai fini par l'avoir à force de pratiquer (bis)
Don daine dans l'bas d'laine du maire d'la municipalité (bis et rebis)
Et ce sans oublier d'graisser la patte d'une couple de conseillers (bis et brebis)
Mais j'ai fini par l'avoir à force de pratiquer (bis)
Pis y a fini par avoir les contrats convoités (bis)
Don daine dans l'bas d'laine d'la firme des joyeux délurés (bis et rebis)
Et ce sans oublier d'graisser la patte d'une couple de conseillers (bis et brebis)
Pis y a fini par avoir les contrats convoités (bis)
En gonflant les factures, un bateau s'est acheté (bis)
Don daine dans l'bas d'laine d'la firme des joyeux délurés (bis et rebis)
Qui s'achète un bateau su l'bras d'la société (bis et brebis)
Par un beau dimanche au soir m'en allant me promener (bis)
J'ai rencontré Tony, il me l'a glissé (bis)
Don daine dans l'bas d'laine du maire d'la municipalité (bis et rebis)
Et ce sans oublier d'graisser la patte d'une couple de conseillers (bis et brebis)
J'ai rencontré Tony, il me l'a glissé (bis)
J'ai eu d'la peine à la plier, tant il avait pilé (bis)
Don daine dans l'bas d'laine du maire d'la municipalité (bis et rebis)
Et ce sans oublier d'graisser la patte d'une couple de conseillers (bis et brebis)
J'ai eu d'la peine à la plier, tant il avait pilé (bis)
Mais j'ai fini par l'avoir à force de pratiquer (bis)
Don daine dans l'bas d'laine du maire d'la municipalité (bis et rebis)
Et ce sans oublier d'graisser la patte d'une couple de conseillers (bis et brebis)
Mais j'ai fini par l'avoir à force de pratiquer (bis)
Pis y a fini par avoir les contrats convoités (bis)
Don daine dans l'bas d'laine d'la firme des joyeux délurés (bis et rebis)
Et ce sans oublier d'graisser la patte d'une couple de conseillers (bis et brebis)
Pis y a fini par avoir les contrats convoités (bis)
En gonflant les factures, un bateau s'est acheté (bis)
Don daine dans l'bas d'laine d'la firme des joyeux délurés (bis et rebis)
Qui s'achète un bateau su l'bras d'la société (bis et brebis)
jeudi 1 octobre 2009
La fin du monde
Une porte s'ouvre dans l'abîme de la nuit et je m'y engouffre comme, la loutre plonge dans l'eau sombre d'un lac par une journée de novembre au nord de La Tuque, à la recherche de barbotes égarées. Mes pensées noires se réverbèrent sur le quotidien gris de ce monde linéaire. Je roule à vélo dans les mornes paysages de mon être qui défilent en une boucle sans fin comme, ceux des bandes dessinées de mon enfance. Ce peut-il que je sois enclin à un spleen passager, que mes états d'âmes ternissent mon existence et que le tout déteigne sur vous? Comment vous sentez-vous après avoir lu ces quelques lignes. Au mieux vous vous sentez perplexe et réflectif. Attentif à vous même vous scrutez votre Vous (Moi pour les intimes) intérieur, à la recherche d'un signe, vous tentez de trier vos états d'âme à la recherche de l'ivraie. Et pendant ce temps mes paroles se sont incrustées sournoisement tel, un chat guette patiemment sa proie, tapit dans l'herbe haute infestée de puces qu'il ramènera à la maison ce soir et pour lequel vous devrez faire venir l'exterminateur pour régler un autre foutu problème, qui lui bien que non existentiel vous ruine tout de même le quotidien et vous force à faire preuve d'une très grande "zenitude" pour éviter de vous gratter au sang.
Apprivoisez les pensées qui se développent en vous et laissez-vous bercer par la morosité. Ce soir quand vous allumerez votre téléviseur pour syntoniser le canal V afin de regarder Dumont 360, vous serez dans l'état d'esprit idéal pour suivre cette extraordinaire émission et toutes les autres qui suivront. Vos ondes cérébrales vibreront au même rythme que celles du canal V. Laissez-vous divertir, soyez de plus en plus légume, sombrez dans une léthargie profonde et devenez réceptif à votre téléviseur. Interagissez avec lui, faites le sentir comme un membre de la famille, aimez le, même s'il est gros et mal défini car il vous le rendra bien.
Si vous avez le câble, chanceux que vous êtes, vous aurez la chance et le grand bonheur de renouez avec notre sport national le hockey (ici l'auteur mentionne le mot hockey, afin de ne pas égarer le lecteur non amateur de sports d'équipe, car pour l'amateur de sport moyen Québécois, le fait de mentionner sport national et hockey dans la même phrase est comme dire il pleut dehors, ce que Jean Chrétien aurait déjà dit à Pierre-Eliot alors qu'il montait dans un avion pour aller le rejoindre. Pierre Eliot lui aurait répondu, Jean il pleut toujours dehors: un pléonasme. Comme je suis nouveau dans l'utilisation du Blog, je ne savais pas comment mettre une note en bas de page afin d'expliciter et de développer davantage cette idée. J'espère que le tout ne vient pas trop alourdir mes propos, lesquels sont déjà empreint d'une certaine lourdeur. Sans plus tarder, la suite de l'histoire.). Alors sortez les crottes de fromages sans gras trans, votre caisse de produits Molson et ingurgitez ce merveilleux condiment et cette boisson des dieux en supportant votre Équipe jusqu'au bout tout en buvant les paroles du Sénateur lors des entractes.
Si les Canadiens ne font pas les séries cette année et bien là ce sera la fin du monde, pis y vont être pris avec Scotch Gomez pis tous les autres. Je suis content d'aborder l'épineux dossier du Canadien car c'est un dossier qui me tient à cœur, même si je ne le connais pas. Alors je tiens à me remercier pour cette dérive qui me permettra de vous apprendre plein de choses que j'ignore moi-même. Hier, lors de mon périple à Sainte-Anne de Beaupré, j'ai allumé quelques lampions pour demander à la bonne Sainte-Anne le retour des Nordiques afin de colorer nos vendredis Saint, qui ne sont plus ce qu'ils étaient. Toujours est-il, que malgré l'absence des Nordiques, le hockey continue d'être un sport et que l'on se doit en tant que citoyens d'avoir un opinion ou une opinione. J'ai moi-même grandit dans une ville ou l'hiver je chaussais mes patins pour me rendre à pieds à la patinoire car non, je n'avais pas les moyens d'avoir un char à huit ans comme c'est le cas aujourd'hui. J'en ai usé des lames sur l'asphalte et mes parents devaient travailler dur pour payer l'affutage. Alors oui le hockey, j'ai ça dans le sang et mon coeur est rempli de cicatrices encore douloureuses des fois où le Canadien ne faisait pas les séries. Mais comme j'ai vécu l'époque glorieuse des années 70, je n'ai que quelques cicatrices et ma tête est remplie des buts de Guy Lafleur et de Steve Shutt. Alors oui j'ai des opinions mais, c'est juste que je suis une personne réservée, que l'on gagne à connaître mais qui s'entoure d'une croûte de timidité quand il s'agit de parler de lui. Là monfils braille y faut que je vous laisse. Réfléchissez à tout ça et pensez-y.
La prochaine fois l'histoire du boudeux Bouddhiste qui aurait voulu être boucher mais qui était végétarien.
Apprivoisez les pensées qui se développent en vous et laissez-vous bercer par la morosité. Ce soir quand vous allumerez votre téléviseur pour syntoniser le canal V afin de regarder Dumont 360, vous serez dans l'état d'esprit idéal pour suivre cette extraordinaire émission et toutes les autres qui suivront. Vos ondes cérébrales vibreront au même rythme que celles du canal V. Laissez-vous divertir, soyez de plus en plus légume, sombrez dans une léthargie profonde et devenez réceptif à votre téléviseur. Interagissez avec lui, faites le sentir comme un membre de la famille, aimez le, même s'il est gros et mal défini car il vous le rendra bien.
Si vous avez le câble, chanceux que vous êtes, vous aurez la chance et le grand bonheur de renouez avec notre sport national le hockey (ici l'auteur mentionne le mot hockey, afin de ne pas égarer le lecteur non amateur de sports d'équipe, car pour l'amateur de sport moyen Québécois, le fait de mentionner sport national et hockey dans la même phrase est comme dire il pleut dehors, ce que Jean Chrétien aurait déjà dit à Pierre-Eliot alors qu'il montait dans un avion pour aller le rejoindre. Pierre Eliot lui aurait répondu, Jean il pleut toujours dehors: un pléonasme. Comme je suis nouveau dans l'utilisation du Blog, je ne savais pas comment mettre une note en bas de page afin d'expliciter et de développer davantage cette idée. J'espère que le tout ne vient pas trop alourdir mes propos, lesquels sont déjà empreint d'une certaine lourdeur. Sans plus tarder, la suite de l'histoire.). Alors sortez les crottes de fromages sans gras trans, votre caisse de produits Molson et ingurgitez ce merveilleux condiment et cette boisson des dieux en supportant votre Équipe jusqu'au bout tout en buvant les paroles du Sénateur lors des entractes.
Si les Canadiens ne font pas les séries cette année et bien là ce sera la fin du monde, pis y vont être pris avec Scotch Gomez pis tous les autres. Je suis content d'aborder l'épineux dossier du Canadien car c'est un dossier qui me tient à cœur, même si je ne le connais pas. Alors je tiens à me remercier pour cette dérive qui me permettra de vous apprendre plein de choses que j'ignore moi-même. Hier, lors de mon périple à Sainte-Anne de Beaupré, j'ai allumé quelques lampions pour demander à la bonne Sainte-Anne le retour des Nordiques afin de colorer nos vendredis Saint, qui ne sont plus ce qu'ils étaient. Toujours est-il, que malgré l'absence des Nordiques, le hockey continue d'être un sport et que l'on se doit en tant que citoyens d'avoir un opinion ou une opinione. J'ai moi-même grandit dans une ville ou l'hiver je chaussais mes patins pour me rendre à pieds à la patinoire car non, je n'avais pas les moyens d'avoir un char à huit ans comme c'est le cas aujourd'hui. J'en ai usé des lames sur l'asphalte et mes parents devaient travailler dur pour payer l'affutage. Alors oui le hockey, j'ai ça dans le sang et mon coeur est rempli de cicatrices encore douloureuses des fois où le Canadien ne faisait pas les séries. Mais comme j'ai vécu l'époque glorieuse des années 70, je n'ai que quelques cicatrices et ma tête est remplie des buts de Guy Lafleur et de Steve Shutt. Alors oui j'ai des opinions mais, c'est juste que je suis une personne réservée, que l'on gagne à connaître mais qui s'entoure d'une croûte de timidité quand il s'agit de parler de lui. Là monfils braille y faut que je vous laisse. Réfléchissez à tout ça et pensez-y.
La prochaine fois l'histoire du boudeux Bouddhiste qui aurait voulu être boucher mais qui était végétarien.
dimanche 27 septembre 2009
A qui
Je peux faire salade, dessert, entrée, sortie, un p'tite danse en pantoufles phentex, monologuer sur le sens de la vie ou son non sens, selon votre choix. Je peux faire strictement rien et demander à ma blonde de faire une entrée, une salade ou autre. Pour ma part je suis d'une flexibilité et d'un flegme contagieux, j'aime ce mot…contagieux, la grippe H1N1 et les vaccins: doit-on se faire vacciner pour la grippe saisonnière au risque d'entraîner une réponse immunitaire incommensurable et anarchique lors de la venue de la H1N1…ou, doit-on inaugurer des Tim Horton plutôt que de siéger assis sur son beigne à l'ONU en écoutant Ban Ki Moon déblatérer sur les changements climatiques, doit-on s'inquiéter de la pénurie d'ingénieurs forestiers à la faculté de foresterie…il y a un avenir pour le sécateur forestier même s'il n'y a pas de présent, le bois produit moins de gaz a effet de serre que le métal après-tout. Quand on aura chaud l'hiver et les pieds dans l'eau à Châteauguay on regrettera surement d'avoir troquer la tronçonneuse pour la poutrelle en acier. Mais avec la montée des conservateurs on aura des belles routes dans les comtés bleues et de la garnotte plein de nids de poules dans les contrés chochialisses. Avec des belles routes, on aura plus de pétrole à extraire des sables bitumineux pour faire rouler nos chars. Pis Tony Acurso se fera un honneur de construire ces belles routes et mangera des tomates, amies de sa prostate, et vivra plus longtemps pour inviter encore plus de ses bons amis sur son bateau.
Nous avons une économie vraiment mondiale et une réponse de gouvernance qui est vraiment mondiale pour répondre à une crise qui est vraiment mondiale…l'absurde rempli toutes les interstices du vide des cervelles de nos dirigeants….mais comme qu'on dit on a les dirigeants que l'on élit et pas ceux que l'on élit pas et si un jour on élit ceux qui ne sont pas encore élu ça demeurera une grande vérité.
Je crois que les vaccins contre la H1N1 n'arriveront pas à temps…pense que je vais porter une burka en amiante avec des tits sapins au Purel en dessour des bras, car le "Docteur Wilby ne cherchait pas les causes des maladies comme l'amiantose".
Et la fin du monde dans tout ça...la semaine prochaine
Nous avons une économie vraiment mondiale et une réponse de gouvernance qui est vraiment mondiale pour répondre à une crise qui est vraiment mondiale…l'absurde rempli toutes les interstices du vide des cervelles de nos dirigeants….mais comme qu'on dit on a les dirigeants que l'on élit et pas ceux que l'on élit pas et si un jour on élit ceux qui ne sont pas encore élu ça demeurera une grande vérité.
Je crois que les vaccins contre la H1N1 n'arriveront pas à temps…pense que je vais porter une burka en amiante avec des tits sapins au Purel en dessour des bras, car le "Docteur Wilby ne cherchait pas les causes des maladies comme l'amiantose".
Et la fin du monde dans tout ça...la semaine prochaine
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